"On ne peut pas être dans la mesure sans avoir connu les extrêmes..."
Rien ne peut tuer le rêveur...
J’entends beaucoup d’échos contradictoires, de messages de grand espoir en même temps que de désespoir et de haine contre les uns ou les autres, comme chaque fois que la peur et la frustration que l’on ne pense pas mériter se déchainent. Faire le tri sans doute. Et dire : qu’il n’y a rien pour rien, que ce qui arrive était sans doute inscrit. Fatalisme ? Peut-être.
Espoir que les choses changent enfin, que les êtres humains évoluent vers le mieux, et le mieux n’est plus associé seulement aux biens matériels mais au mieux de l’être. Être bien dans la nature, être bien avec les siens, être bien avec les autres, être bien. Bien sûr il n’y a pas de bonheur constant, comme une ligne droite, il ne peut qu’être fugace, comme tout, soumis aux variations de l’univers, comme nous en faisons tous partie, cet univers en mouvement, en transformation constante, et bien avec soi-même puisque l’on nous demande d’entrer au plus profond de notre être, la plupart du temps seuls, et bien seuls, et y retrouver l’essentiel.
Si le courant te porte, les vagues sont tes alliées.
Les poésies sont parfois comme des fleurs qui s’ouvrent dans le cœur….
La cime des arbres parait toujours fragile…
Ecouter la musique, c'est épanouir son âme...
L’homme n’a pas d’autre destin que de briser ses chaines…
Les ballons du soleil jouent entre les arbres pour nous rappeler combien la lumière est légère….