14 février 2013
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Je suis toujours désemparée devant l’annonce brutale d’une disparition, qu’elle soit la fermeture d’un magasin, d’un cabinet de médecin, ou d’un contact que l’on retrouve sur son portable et que l’on peut, d’un clic, effacer parce que la personne est décédée.
Et bizarrement l’effet inverse, le rappel de notre condition humaine, de notre fin programmée, de notre place si petite soit-elle mais faisant partie du tout.
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