Même si l’on n’aime pas la guerre, que l’on y préfère la paix, il faut pourtant bien la faire quand certains fanatiques religieux, je parle du Hamas, communauté trop sûre d’elle et d’une mission qui leur serait attribuée, vous entrainent dans un courant violent qui ne tolère, lui, aucune résistance. Si les guerres des religions ont existé en Europe, ces excès de triomphe au nom de Dieu ont disparu, devenues pacifiques, leur vraie destinée. Ne laissons pas flamber une seule qui ose penser qu’elle est la justicière du monde et vouloir s’en emparer, en mettant le feu de toutes les façons possibles, et surtout le feu des âmes qui ne peuvent qu’en souffrir par des guerres interminables…
Beaucoup de versions pleuvent à présent, nous chahutant d’un côté de l’autre, la Palestine, l’État d’Israël, leur légitimité, leur histoire, les colonisations diverses et variées selon les époques, le rôle des États Unis, des uns et des autres etc., bref, qui est LE RESPONSABLE ? Comme si le fait de chercher un responsable faisait circuler la culpabilité d’un bord à l’autre, évitant ainsi toute solution, toute alternative, nous embourbant dans un sentiment diffus de non-responsabilité nous-même, nous empêchant d’avoir une opinion et de la garder, nous projetant dans un état puis dans un autre, dans une opinion puis dans une autre, au nom de la tolérance, et je me demande si ce n’est pas de la manipulation à l’état pur… Où est la vérité ? Sommes-nous aux prises avec elle ? Peut-être va-t-on me traiter de complotiste ou je ne sais quoi. Je ne pense pas qu’il faille tant chercher le responsable pour rejeter la faute et par là même, retarder la solution, si la paix est la seule option que tous recherchent, c’est certain, on ne peut laisser tout faire, tout accepter, parce que l’inacceptable doit être chassé du monde, d’une façon ou d’une autre. Si les dirigeants des états ont un rôle à jouer, ce n’est pas à chercher un responsable en ameutant l’opinion publique, c’est plutôt, il me semble, à se réunir pour nous sortir à plus ou moins long terme de cette plaie qui entache le monde, la guerre, engendrée par la haine accumulée et qui se fixe sur un point et entraine des millions de gens au nom de quelques-uns.