9 octobre 2017
1
09
/10
/octobre
/2017
10:05
S’assoir par hasard à coté de quelqu’un, quelqu’une à dire vrai, qui sent la violette dans le métro un vendredi soir quand il est bondé, relève sans doute d’un moment privilégié. Aussi me prend l’envie de le déclarer tout de go à cette jeune femme. Je me tourne vers elle. Elle me regarde aussi. Bien sûr je ne dis rien. Mais derrière son sourire s’exhale plus fort le parfum des violettes qui fleurissent derrière elle, là, dans le champ des sourires...